L’académie des sciences alerte à son tour sur « la sous-représentation des femmes dans les métiers des sciences et de l’ingénierie », qui « prive les sociétés d’une partie de leurs talents potentiels, pourtant nécessaires pour faire face à des défis environnementaux, climatiques ou encore énergétiques sans précédent ».
Si le communiqué de presse se montre discret sur la responsabilité de la réforme Blanquer, le rapport dont il accompagne la publication est (un peu) plus explicite, constatant qu’« en 2021, comme en 2022, 49% des filles de terminale générale n’ont choisi aucun enseignement de spécialité scientifique parmi les deux choix possibles, contre seulement 28% des garçons », citant les chiffres de la DEPP (Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance).
Toujours selon la DEPP, elles étaient 82 % à faire au moins 3h de maths par semaine avant la réforme, auraient pu préciser les rapporteurs…
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