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Il n’y a pas de gènes

De l’interview de Christine Morin Messabel, professeure de psychologie sociale et chercheuse à l’université Lyon-II, sur la persistance des stéréotypes de genre, je retiens notamment cette idée, selon laquelle la différence d’appétence pour les mathématiques entre les filles et les garçons ne saurait être d’ordre génétique, puisque les enquête PISA montrent que dans certains pays, les filles sont meilleures que les garçons en mathématiques.

L’information est importante, à l’heure où certains laissent entendre à demi-mot que la baisse du nombre de filles dans les filières scientifiques serait finalement « naturelle », dans l’ordre des choses.

Mais l’ordre des choses n’est rien d’autre que celui que l’on donne aux choses.

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